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Makoto Kagoshima

Ceramics

Makoto Kagoshima, basé sur l’île méridionale du Japon, illustre des motifs fantaisistes et réconfortants sur de l’argile, faisant de chaque céramique une œuvre d’art unique en son genre. En tant que jardinier passionné, des motifs tels que des pensées et des roses apparaissent dans ses créations, avec parfois des papillons et d’autres créatures fantastiques.

Publié par Chariots on Fire Press
21 x 29,7 cm
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Robert Auguste et Gyn Gausserand

POTS

Gyn Gausserand et Robert Auguste se rencontrent en 1948 à l’école de poterie de Fontcarrade à Montpellier. Ils partagent le même atelier toute leur vie durant, d’abord à Vallauris, avec toute la bande (Capron, Derval, Kostanda, Picasso bien sûr, Picault, Ramié, etc. ), puis à Millau, et enfin à Pouzilhac où ils s’établissent dans une maison atelier pour travailler plus et mieux, pour créer leur monde.

Cet ouvrage est l’occasion de mettre en lumière un atelier de poterie actif pendant près de soixante-dix ans depuis le début des années 50 jusqu’en 2017, en mettant en évidence les aspects techniques, idéologiques et culturels de celui-ci. À Vallauris, leur production est déjà polymorphe : l’approche résolument moderne et libre du duo formé par Gyn et Robert est remarquable et chacun travaille aussi dans d’autres ateliers. Gyn réalise des décors chez leur voisin Jacques Lignier, tandis que Robert travaille comme tourneur auprès d’Odette Gourju Naumowitch et de son mari Ljuba (parents de Jacques Innocenti), à l’atelier du Grand Chêne. Leurs créations, signées RGA Vallauris, RGA, R et G Auguste, RA, GG, Gyn, révèlent des pièces culinaires mais aussi des pots aux allures sculpturales et des panneaux aux décors peints qui prennent une dimension bel et bien artistique, au-delà du seul sens de l’usage. Ils ont par ailleurs réussi à penser leur autonomie en quittant Vallauris. Le plus important était de faire et de se rendre disponibles à la rencontre dans leur atelier, lieu du travail et de la vente. Le talent de ces deux potiers, alliés de toujours, est d’avoir su développer tout au long de leur vie un vocabulaire de formes très identifiable présent dès les débuts de leur activité. Cette fidélité à leur style est vérifiée par les nombreuses images d’archives et par des signatures de toutes époques présentant d’infimes variations de décors.

Les charismatiques Robert et Gyn avaient des personnalités très différentes, conscients de leur complémentarité, choisissant un mode de vie alternatif qui fait aujourd’hui écho au regain que nous connaissons autour des métiers de la terre.

Cette publication inclue des extraits d’entretiens, des morceaux choisis, des archives photographiques, écrites (lettres, dessins, poèmes, formules chimiques, registres comptables) mais aussi des photographies contemporaines in situ des pièces restées dans ce qui fut leur dernier atelier.

Publié par Iris éditions
192 pages
24 x 32 cm
2023
Français
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Jiro Kimura

ReConstruction

Après avoir déménagé à Yatsugatake, Kimura a passé près de 11 ans à créer des meubles à partir de bois de construction usagé. Depuis la création de Trax jusqu’à son décès, il a produit une multitude de meubles et d’objets.
Cette publication est un résumé de l’immense quantité de photographies et de documentation sur ses meubles, ses objets et sa création d’espace autour de Trax que Kimura a laissée derrière lui. La plupart des photos incluses ont été prises à Trax, en tant qu’espace en soi. Outre des textes écrits par Kyohei Sakaguchi, Elein Fleiss et Tohru Matsushita (SIDE CORE), tous associés à Trax, le livre comprend également des croquis et des dessins de Kimura, ainsi que des photographies du jardin et de la culture Jomon qui lui ont servi d’inspiration. Même vingt ans après sa mort, de nombreuses œuvres de Kimura restent intemporelles, conservées principalement à Trax. Ce livre est une étude du parcours créatif de Jiro Kimura avec Trax, en tant que galerie et œuvre d’art.

La Gallery Trax a vu le jour en 1993, au pied de Yatsugatake, dans la ville de Hokuto, à Yamanashi. Fondée par l’architecte d’intérieur Jiro Kimura et la designer Etsuko Miyoshi, ce bâtiment était la crèche d’une école municipale fermée située sur le terrain du temple Shounji. Il a été rénové par Kimura lui-même, et le mobilier et les objets qu’il a créés composent l’espace. Trax se distingue non seulement par son emplacement ou son atmosphère, mais aussi par le fait qu’il a été un lieu d’exposition pour des artistes tels que Jun Tsunoda, Tomoo Gokita, Katsumi Omori, Rinko Kawauchi, Yayoi Deki et d’autres depuis le début de leur carrière. Avec le vent qui souffle et la lumière qui pénètre, la galerie n’est pas ce que l’on appelle un White Cube. L’espace et les œuvres semblent respirer ici ; l’espace lui-même est une œuvre d’art qui a accueilli de nombreuses œuvres d’art au fil des ans. Depuis le décès de Kimura en 2004, Miyoshi a maintenu l’endroit en tant que galerie, et le nombre de visiteurs de Trax, un lieu où l’esprit de Kimura réside toujours, ne cesse de croître.

Éditeur: torch press
30 x 23 cm
144 pages
Japonais / Anglais
ISBN: 978-4-907562-45-8 C0052
Décembre 2023
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Richard Batterham

Studio Potter

Richard Batterham (1936-2021) était l’un des potiers les plus vénérés de son temps, travaillant depuis plus de 60 ans dans sa poterie à Durweston, Dorset, Royaume-Uni. Au fil des décennies, Batterham a conservé certains de ses pots les plus réussis – ceux qui capturaient une qualité particulière qu’il appréciait et voulait se référer à nouveau – constituant une archive personnelle couvrant toute sa carrière. En tant que collection, il documente une vie unique de travail et de fabrication. Avec des photographies spécialement commandées de pièces représentatives, personnellement sélectionnées par Batterham, et les contributions d’un groupe d’écrivains ayant une profonde compréhension de son travail et de sa signification plus large, ce livre est une monographie importante du célèbre potier de studio.

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Ronan Bouroullec

Bas-Reliefs

“Nous pourrions regarder les bas-reliefs en céramique de Ronan Bouroullec et y voir les traces d’un langage que nous reconnaissons : paysages, objets, horizons. Nous pourrions être tentés de considérer l’œuvre de ’23 bas-reliefs’ comme un alphabet de formes simples, de penser aux pièces de manière « objective ». Mais en tant que tableaux, ces reliefs ne sont pas tout à fait justes : l’un a un bord qui va trop loin, un autre présente un cercle décentré et sur le point de rouler, un autre encore, une masse rose qui pourrait basculer.

Le travail de Ronan Bouroullec est plus fécond si nous l’écoutons à travers un tout nouveau langage. Les langues sont toujours nées de l’argile (on pense aux sceaux cunéiformes) ; il est facile de croire qu’il est en train de développer la sienne. Sa pratique – quelque part à l’intersection entre la peinture, la sculpture et le design – exige de nouveaux verbes, des mots comme « biseauter » et « désintégrer ». (Et il est possible qu’il n’y ait rien de plus beau qu’un bord biseauté : la façon dont ils s’effilent ressemble à une caresse. La façon dont ils se dissolvent sur un fond est à la fois délicate et profondément analogique. Ces effets sont à la fois visuels et tactiles, c’est-à-dire qu’on les voit et on a envie de les toucher).”

Josh Ascherman

Publié par Nieves
24 Pages
19,5x25,5cm
2022
Anglais
ISBN 978-3-907179-44-4
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Sigrid Volders

Colours and Shapes

Colours & Shapes est une introduction ludique à la pratique de l’artiste céramique belge Sigrid Volders. Édité et avec des photographies de Johanna Tagada Hoffbeck, cette publication comprend des croquis et des extraits de journal intime de Sigrid Volders.

Active en tant qu’artiste céramiste depuis 2013, la pratique de Sigrid Volders est composée de pièces fabriquées à la main et de pièces tournées de manière plus académique. À travers la palette existante dans son corpus d’œuvres, Sigrid démontre une capacité à exécuter des techniques instantanées, la liberté et le détachement, qui se traduit dans ses pièces par un sentiment distinct et immédiat d’honnêteté et d’intimité.

Publié par Poetic Pastel Press
20 pages
28.9 x 38 cm
2021
English
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Takuro Kuwata

Day

Takuro Kuwata est un potier radical qui décrit néanmoins son travail comme étant fermement ancré dans les traditions de la céramique. Il cherche à pousser le potentiel de ses matériaux, tout en se référant aux formes traditionnelles et en fabriquant des objets fonctionnels. Il est connu pour un certain nombre de procédures expérimentales, notamment l’ajout de pierres à son mélange d’argile de sorte que, lors de la cuisson, elles éclatent ou perforent la structure de l’argile, ou l’utilisation d’aiguilles pour attraper la glaçure d’un récipient afin de créer une texture bosselée lors de la cuisson. Il laisse ainsi la forme finale de l’œuvre au hasard, mais prend soin de s’assurer que chaque pièce est toujours fonctionnelle. Les œuvres de Kuwata sont également connues pour leurs combinaisons de couleurs saturées et intenses. L’artiste a tendance à privilégier le rouge, le bleu et les couleurs métalliques or et argent.

Publié par Innen
Edité par Hiroshi Iguchi
24 pages
19 × 13 cm
Couverture souple
2021
Anglais
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Thomas Weil

New Grammar of Ornament

Les ornements sont omniprésents – ils peuvent être trouvés sur les bâtiments, les tissus, les bijoux, les carreaux, la céramique et le papier peint. Méprisé au début de l’ère moderne, l’ornement est depuis longtemps revenu dans l’architecture et influence autant les ébauches que les motifs de tatouage.
Dans New Grammar of Ornament, Thomas Weil compare les objets ornementaux actuels avec les résultats de la recherche archéologique sur les artefacts ornementaux et conclut qu’il existe une constante anthropologique. Des arrangements récurrents de rayures, rectangles, triangles et points et de la fréquence des formes d’ornements floraux utilisés, il tire une nouvelle « grammaire de l’ornement ».
Plus de 160 ans après la publication influente d’Owen Jones, New Grammar of Ornament est un nouvel ouvrage de référence. Il catégorise la variété des formes ornementales utilisées dans le monde et les place pour la première fois dans un contexte artistique et historico-culturel majeur.

Publié par Lars Müller Publishers
336 pages
24 x 17 cm (couverture souple)
Anglais
2021
9783037786536
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Titlee x Chose Commune

Book Pin

Chose Commune s’associe à la marque française de bijoux haute fantaisie Titlee pour proposer un “book pin” pour tous les amoureux du livre

18 mm H x 23 mm L
Laiton doré à l'or fin
Logos de Titlee et Chose Commune au verso
Présenté dans un écrin
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Tsutsumu - the origin of Japanese packaging

Les pièces présentées dans les plus de 200 magnifiques photographies de ce livre proviennent de la collection personnelle de Hideyuki Oka (1905-1995), un maître du graphisme et de la publicité japonais. L’emballage traditionnel japonais, appelé “tsutsumu”, utilise des matériaux naturels comme le bambou, la paille de riz, la ficelle de chanvre, le papier, la céramique et les feuilles. Le sens esthétique japonais familier et sa résonance dans la culture traditionnelle imprègnent même ces objets quotidiens, qui semblent tous transcender leur fonction évidente. La beauté simple et le savoir-faire artisanal sont remarquables, qu’il s’agisse de bonbons verts dans une boîte en pin taillée à la main ou d’une orange en céramique conçue pour contenir du miso aux agrumes.

Florence Cuschieri est une artiste visuelle et auteure franco-maltaise. À travers une pratique pluridisciplinaire mêlant photographie, texte, archives, installation et récits oraux, elle explore les liens profonds entre mémoire et oubli, identité et exil, intime et politique. Inspirée par ses racines maltaises et les fragments d’« histoires oubliées » – souvent personnelles et familiales – elle donne voix aux récits marginalisés et interroge les fractures sociales à travers une approche documentaire et poétique.
Son travail, où se croisent corps et voix, image et mot, est traversé par une volonté d’émancipation et de transmission. Il a été publié dans M Le Monde, Der Greif, Gaze Magazine, et exposé dans de nombreux festivals internationaux, tels qu’Encontros da Imagem (Portugal), Revela’t (Espagne), Athens Photo Festival (Grèce). Elle est lauréate du Prix Jeune Photographie Occitanie – Images Singulières 2021. En 2024, elle est lauréate de la commande Regards du Grand Paris avec le CNAP et les Ateliers Médicis et reçoit le Luma Rencontres Dummy Book Award.
Publié en 2025, La Ronde des hirondelles est son premier livre.
Christine Gössler est née en 1953 en Autriche. Christine étudie l’histoire de l’art avant de travailler comme réalisatrice de programmes documentaires pour la radio. Elle rencontre Seichi Furuya en 1978, et commence à photographier à ce moment-là. Après la naissance de leur fils en 1981, elle s’immerge dans le monde du théâtre. Alors qu’elle se dévoue à ses cours de théâtre, elle commence à montrer des signes de schizophrénie. Christine se suicide à Berlin Est en 1985.
Fusako Kodama (née en 1945 au Japon) a étudié la photographie avec Seiiji Otsuji et Yasuhiro Ishimoto à l'école de design Kuwasawa de Tokyo. Ses œuvres illustrent la quintessence du modernisme de Kusawasa Design, qui intègre l'enseignement du Bauhaus.
Cintia Tortosa Santisteban (née en 1989 en Espagne), habite à Kanagawa au Japon, depuis 2021. Elle a étudié la littérature anglaise, la linguistique et l'enseignement à l'université de Grenade (Espagne) et de Galway (Irlande). Aujourd’hui, elle est professeur d'anglais au Japon. Elle n'a pas reçu de formation en photographie ou en arts, mais a appris à travers les livres, sur Internet et grâce à ses amis. Elle s'intéresse aux arts visuels depuis son enfance, mais ce n'est que fin 2019 qu'elle a commencé à s'y intéresser plus sérieusement.
Vuyo Mabheka (né en 1999 dans la ville rurale de Libode, dans la province du Cap-Oriental, en Afrique du Sud) vit aujourd’hui à Thokoza, proche de Johannesburg. En 2017, il a découvert la photographie à travers le projet Of Soul and Joy - une plateforme créative qui vise à fournir aux jeunes des compétences professionnelles dans le domaine de la photographie. Vuyo Mabheka est lauréat du Prix spécial du Jury du Grand Prix Images Vevey 2023/2024, et sa série Popihuise est exposée à La Biennale Images Vevey 2024. Mabheka est représenté par Afronova Gallery, Johannesburg.
Rebecca Norris Webb (née en 1956 in Rushville, État-Unis), elle vit et travaille entre New York et le Massachusetts. Elle associe souvent ses mots et ses images dans ses livres de photographie — 9 publiés à ce jour —, notamment dans sa monographie « My Dakota », qui est un hommage à son frère décédé brutalement (2012) et qui a fait l’objet d’une exposition personnelle au Cleveland Museum of Art en 2015. Bénéficiaire d’une bourse du NEA, elle travaille actuellement sur « Badlands », un projet photographique en cours dans le Dakota, ainsi que sur son livre à paraître, « Glimmerings », qui rassemble une sélection de photographies sur une période de trente ans. Elle est représentée par la galerie Robert Koch (San Fransisco)
Lia Darjes (née en 1984 à Berlin) vit et travaille entre Hambourg et Berlin. Elle a étudié à la HAW de Hambourg dans la classe d’Ute Mahler et s’est fait connaître avec Tempora Morte, une étude documentaire de nature morte ayant pour sujet principal les étals des marchés informels de Kaliningrad. Aujourd’hui, elle enseigne la photographie à l’Ostkreuzschule für Fotografie, institution qu’elle dirige avec le photographe Jörg Brüggemann depuis 2023. Elle est représentée par la Galerie Robert Morat depuis 2019.
Ciro Battiloro (né en 1984 à Torre del Greco) est un photographe italien basé à Naples. Il a étudié la philosophie à l’université de Naples Federico II et s’est ensuite spécialisé dans la photographie documentaire.
Ciro développe une approche très intime : c’est à travers la vie quotidienne qu’il aborde des thèmes sociaux plus larges.
Son travail a été publié dans des magazines et exposé dans de nombreux musées, galeries et festivals.
Mark Steinmetz (né en 1961 à New-York) vit à Athens, en Géorgie. Il est diplômé en photographie de l’Université de Yale en 1986. Travaillant principalement par séries, ses photographies en noir et blanc évoquent une variété de sujets, depuis l’innocence des enfants et des adolescents des petites villes du sud-est américain, aux rues animées de Paris et aux paysages paisibles des villes italiennes. Il est représenté par Galerie Box (Bruxelles) et la galerie Yancey Richardson (New York).
Irina Rozovsky (née en 1981 à Moscou) a étudié au Massachusetts College of Art and Design de Boston, dans le Massachusetts. Elle photographie des personnes et des lieux, transformant des paysages extérieurs en états intérieurs. Elle vit à Athens, en Géorgie, où elle dirige avec son mari Mark Steinmetz l'atelier de photographie The Humid. Elle est représentée par la galerie CPM (Baltimore) et Galerie Box (Bruxelles).
Orfeo Tagiuri (né en 1991 à Brookline, MA, États-Unis) vit et travaille à Londres. La pratique d'Orfeo s'étend de la peinture et dessin à la performance, au film, à la sculpture sur bois, à l'animation et à la musique. L'artiste a exposé et réalisé des performances à l'international, notamment à la Sapling Gallery, Londres (2021), au MACRO, Rome (2021), au Palais de Tokyo, Paris (2018) et au Volcano Extravaganza de Fiorucci Art Trust (2016). En 2020, Orfeo a été nominé pour le prix Bloomberg New Contemporaries.
Alexandra Duprez (née en 1974 à Quimper) vit et travaille à Douarnenez. À l’âge de 16 ans, Alexandra Duprez entreprend un voyage en Australie. C’est dans ce pays lointain qu’elle rencontre Robin Hundt, une femme passionnée d’art aborigène qui l’héberge dans sa maison aux murs recouverts de toiles. C’est un moment marquant. Dès lors, Alexandra Duprez se consacrera à la peinture. À son retour elle entre aux Beaux-Arts de Quimper. Elle crée des œuvres énigmatiques, oscillant entre un langage abstrait et humain. Elle est représentée (sélection) par la galerie COA au Canada, galerie HAGD au Danemark, galerie DYS en Belgique, Pulp gallery et Tayloe Piggot gallery aux USA , Moving gallery en Hollande. Elle a collaboré de nombreuses années avec la galerie Pierre Hallet à Bruxelles et la galerie Anton Meier à Genève. En 2015, elle participe à la création de la galerie Plein-Jour, qu’elle co-dirige depuis.
Chinoko Sakamoto (née en 1992) est une artiste céramiste japonaise, qui vit et travaille à Nagasaki au Japon.
Mikiko Hara (née en 1967 dans la préfecture de in Toyama, Japon) a suivi une formation au Tokyo College of Photography et a été récompensée du prestigieux Kimura Ihei Award en 2017. Mikiko Hara utilise un appareil Ikonta sans viseur, « L’objectif de l’appareil est plus honnête, plus simple, plus imperturbable et impitoyable que mes propres yeux », explique-t-elle. Elle est représentée par la galerie Miyako Yoshinaga (New York, États-Unis), Osiris (Tokyo, Japon), IBASHO (Anvers, Belgique).
Jared Bark (né en 1944 à Appleton aux États-Unis) partage son temps entre New York et sa ferme de Warwick, dans l'État de New York, où il vit avec sa femme, l'artiste peintre Lois Lane, depuis 1981. Jared Bark est un artiste connu pour la diversité de ses activités et de ses supports. La performance, l'art corporel, les procédures aléatoires et le minimalisme sont autant d'aspects de son travail. Il est représenté par la galerie Yancey Richardson (New-York).
Daniel Gordon (né en 1980 à Boston) vit et travaille à Brooklyn. Il est diplômé d’une licence au Bard College de New York en 2003, puis des Beaux-arts de Yale en 2006. Évoluant entre deux et trois dimensions, la pratique de Daniel Gordon consiste à s'approprier des images de natures mortes qu'il trouve sur Internet. Il imprime les images sur du papier avant de les découper, puis assemble un tableau tridimensionnel dans l'atelier, qui est ensuite photographié, en associant des processus et des matériaux artisanaux et numériques. Il est représenté par la galerie Kasmin (New-York), Shulamit Nazarian (Los Angeles) et Huxley—Parlour (Londres)
Moe Suzuki (née à Tokyo) a étudié la photographie au London College Communications, University of the Arts London.
De retour à Tokyo après le grand tremblement de terre de 2011, Moe Suzuki apprend la reliure en autodidacte. Elle commence alors une carrière d’artiste visuelle, privilégiant la photographie qu’elle mêle à des images d’archives et des illustrations. Son travail porte principalement sur des sujets tels que la vie en communauté, les personnes handicapées ou la spiritualité
Shun Kadohashi (né en 1985) est un artiste céramiste et peintre et vit à Chiba, au Japon. Il a suivi une formation auprès de l'artiste britannique Sandy Brown avant de retourner au Japon et de développer sa propre pratique.
Massao Mascaro (né en 1990 à Lille) vit à Bruxelles. Il est diplômé d’un master en photographie à la BlankPaper Escuela à Madrid. Depuis 2019, Massao enseigne la photographie à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles. Son travail est un équilibre délicat entre autobiographie, topographie et politique. Son point de vue intime, son utilisation d'une mise au point douce, d'un cadrage serré et d'une faible profondeur de champ évoquent le toucher. La portée de son travail est profondément politique, car elle est ancrée dans le besoin d'explorer la manière dont les humains se rapportent aux espaces (à la fois culturels et géographiques) qu'ils habitent. Il est représenté par la galerie C (Neuchâtel).
Constance Guisset (née en 1976 à Neuilly-sur-Seine) est une artiste designeuse, architecte d'intérieur et scénographe, mais aussi illustratrice. Après des études à l’ESSEC et à Sciences Po, puis une année au Parlement de Tokyo, Constance Guisset entre à l’ENSCI – Les Ateliers dont elle sort diplômée en 2007. Son travail est marqué par une recherche d’équilibre entre ergonomie, délicatesse et imaginaire. Ses objets sont autant de tentatives d’explorer l’incarnation du mouvement par la légèreté ou la surprise, tout en défendant une exigence de confort et d’accueil des corps et de leurs gestes.
Toshio Shibata (né en 1949 à Tokyo) est exposé dans le monde entier depuis 1971. Ses photographies atteignent une harmonie unique en se concentrant sur l'imbrication des forces naturelles et des structures créées par l'homme grâce à de longues expositions. Sous l'œil de Shibata, le paysage contemporain devient une mystérieuse composition abstraite, résultat de l'imbrication de la nature et de l'ingénierie.
Deanna Dikeman (née en 1954 à Sioux City, Iowa, États-Unis) réside actuellement à Kansas City. Elle photographie sa famille dans le Midwest depuis 1985, date à laquelle elle a quitté son emploi pour s’essayer à la photographie. En 1996 elle reçoit une bourse de la Fondation Aaron Siskind et en 2018, la bourse United States Artists Booth. Elle obtient la bourse Guggenheim en 2023.
Seiichi Furuya (né en 1950 à Izu, Japon) quitte en 1973 le port de Yokohama pour voyager en Europe à bord du Transsibérien, après avoir obtenu son diplôme de l’Université Polytechnique de Tokyo en 1972. Il s’installe à Graz en 1975, où il rencontre Christine Gössler en février 1978 et le couple se marie en mai de la même année. En 1982, ils déménagent à Vienne pour que Christine puisse étudier le théâtre, puis à Berlin en 1985. Seiichi Furuya est l’un des fondateurs de la revue de photographie Camera Austria et a publié une vingtaine de livres de photographies mettant en scène Christine, lui-même et leur vie ensemble.
Coco Capitán (née en 1992 à Séville) s'installe à Londres à l'âge de 17 ans, où elle étudie la photographie à l'université des arts de Londres et se spécialise dans la photographie d'art au Royal College of Art.
Elle est connue pour son travail artistique et de conception à travers différents chemins, pratiques et médias. Elle aime fabriquer des objets, peindre, penser, écrire, photographier, écouter les autres, trouver des solutions aux problèmes, faire des livres, aménager des espaces, mixer de la musique, concevoir et exposer, entre autres choses.
Rinko Kawauchi (née en 1972 à Shiga) vit à Chiba au Japon. Elle s'est intéressée à la photographie tout en étudiant à Seian College of Art and Design. Le travail de Rinko Kawauchi est caractérisé par une sérénité, un style poétique, illustrant les moments ordinaires dans la vie. Elle photographie principalement en utilisant un format 6×6. Elle est représentée par la Galerie Priska Pasquer (Allemagne), Meessen De Clercq (Belgique), Rose Gallery (États-Unis) et la galerie Christophe Guye (Suisse).
Vasantha Yogananthan (né en 1985 à Grenoble) vit et travaille à Marseille.
Photographe autodidacte, il est profondément attaché à la photographie argentique. Le livre est un objet central dans sa pratique, ce qui l’a conduit à cofonder en 2014 la maison d’édition Chose Commune. Il réalise ses projets en immersion et sur le temps long, tout d’abord en France sur la plage de Piémanson (2009-2013), puis en Inde et au Sri-Lanka autour du mythe du Rāmāyana (2013-2021). En 2022, il réalise un nouveau projet aux États-Unis, à La Nouvelle-Orléans, dans le cadre du programme Immersion de la Fondation d’entreprise Hermès duquel il est lauréat. Il est représenté par Jhavery contemporary (Mumbay) et The Photographers' Gallery Print Sales (Londres).
Shoji Ueda (né en 1913 à Sakaiminato au Japon et décédé en 2000) est une des grandes figures de l’histoire de la photographie japonaise. À 15 ans, son père lui achète son premier appareil photographique et il obtient en 1932 le diplôme de la Tokyo Oriental Photography School. Jusqu’à sa disparition en 2000, il dédie sa vie à la photographie dans sa région natale, loin de la profusion tokyoïte, revendiquant son amateurisme. Connu pour son style particulier appelé « Ueda cho », il se démarque par de célèbres séries de photos réalisées dans le décor surréaliste des dunes de sable de la préfecture de Tottori, sa région natale.
Issei Suda (né en 1940 à Tokyo et décédé en 2019) est diplômé du Tokyo College of Photography. Il travaille au départ comme photographe pour la troupe de théâtre Tenjo Sajiki puis devient photographe indépendant. Photographe du quotidien, de l'instantané, du furtif et du déclenchement à la volée, il enseigne au Tokyo College of Photography et à l'Université Zokei de Tokyo, ainsi qu’au Département de photographie de l'Université des Arts d'Osaka. Il a réalisé plus de 190 expositions personnelles au cours de sa vie.
Masako Tomiya (née en 1981 au Japon) débute la photographie pendant ses années de lycée, et étudie ensuite à Osaka et Tokyo dans les années 2000. A partir de cette époque, elle commence à prendre des photos de la région de Tsugaru où elle est née.
Nathalie Du Pasquier (née en 1957 à Bordeaux) est une designer et artiste connue pour son travail en tant que membre fondatrice du groupe Memphis dans les années 1980. D'abord spécialisée dans le textile, le mobilier et les motifs, elle s'est ensuite tournée vers la peinture. Son œuvre se distingue par des couleurs vives, des formes géométriques et une approche ludique de la composition. Elle continue d’explorer la relation entre les objets, l’espace et la forme dans son art.
Alexandra Catière (née en à Minsk, Biélorussie) vit et travaille à Paris. Elle est diplômée de l’International Center of Photography (New York, USA) et a été l’assistante d`Irving Penn. Lauréate du Festival de la Photographie d’Hyères en 2007, puis de la première édition de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce avec l’exposition aux Rencontres d’Arles en 2012, elle collabore régulièrement avec la presse. Alexandra Catiere est l’auteur de quatre livres photographiques. Son parcours sans frontières témoigne de son envie de tendre vers l’universel. De l’ancienne Union soviétique à la France en passant par les Etats-Unis, elle fait de l’intemporalité l’un des aspects majeurs de sa création. Elle est représentée par la galerie In Camera (Paris).
Iris de Moüy (née en 1975 à Paris) vit et travaille à Paris. Elle dessine, peint et écrit. Travaillant principalement sur papier, le style ouvert et spontané d'Iris de Moüy exprime un éventail d'émotions à l'encre, à la gouache et à la peinture à l'huile. Elle raconte parfois des histoires à l'aide de courts films d'animation, donnant vie à ses dessins fantaisistes. Dans tout son travail, elle crée un univers qui lui est propre, nourri à la fois par le quotidien et la magie. Elle réalise des livres pour enfants et des livres d'artistes et a été en 2015 artiste en résidence à la Villa Kujoyama (Kyoto, Japon).
Clémentine Schneidermann (née en 1991) vit et travaille entre Cardiff (Pays de Galles) et Paris (France). Elle a étudié au Centre d'Enseignement Professionnel de Vevey en Suisse puis à l’université de South Wale à Newport (Pays de Galle). Elle s’intéresse à la représentation des milieux populaires du Royaume-Uni. Jouant avec une esthétique entre photographie de mode et documentaire, elle donne à voir avec poésie et humour des communautés à la marge. À travers la photographie de portrait, elle confronte les codes des deux disciplines (mode et documentaire) pour détourner le quotidien et magnifier l’ordinaire.
Sarker Protick (né en 1986 à Dhaka, au Bangladesh) a étudié à l'Institut des médias d'Asie du Sud - Pathshala à Dhaka, où il enseigne depuis dix ans.
Le travail de Sarker Protick s'articule souvent autour du thème du changement, de l'immobilité momentanée, de la lumière fugace et des origines élémentaires d'un lieu.
Katrin Koenning (née en 1978 à Dortmund en Allemagne) vit et travaille à Naarm, en Australie.
Elle a étudié la photographie documentaire au Queensland College of Art, à l'université Griffith (Brisbane, Australie). En quête d'intimité et d'interconnexion, le travail de Katrin Koenning est centré sur la pratique en tant que rencontre relationnelle. Dans ses images-dialogues, Katrin utilise des fragments et des glissements pour suggérer des espaces narratifs et des communautés fluides et multiples.
Johanna Tagada Hoffbeck (née en 1990 à Strasbourg, France) est une peintre et artiste interdisciplinaire. Elle vit et travaille principalement dans les régions rurales d’Oxfordshire (Royaume-Uni) et de l’Alsace (France).
Sa pratique, qui est composée de peinture, dessin, installation, sculpture, film, photographie et écrits dissimule souvent des messages écologiques, transmis par des techniques douces et délicates L’interaction entre l’environnement et autrui joue un rôle central dans plusieurs des oeuvres de l’artiste. En 2014, Johanna a fondé le projet culturel positif et collaboratif Poetic Pastel. En 2018, l'artiste a cofondé la série de publications Journal du Thé - Contemporary Tea Culture.
Julie Cockburn (née en 1966 à Londres) vit et travaille à Suffolk (Royaume-Uni). Elle a étudié à la Central St Martins School of Art and Design et à la Chelsea School of Art, à Londres. Le travail de Julie Cockburn se définit par son artisanat délicat et par la transformation d'objets quotidiens et trouvés en œuvres d'art. En manipulant des objets et des images trouvés, tels que des sculptures en céramique, des peintures, des photographies, du papier imprimé et des livres, elle évoque un sentiment de nouveauté et de spontanéité. Elle est représentée par The Photographers’ Gallery (Londres), Flowers gallery (Londres) et la galerie Hopstreet (Bruxelles).
Raymond Meeks (né en 1963 dans l'Ohio, États-Unis), vit et travaille dans la vallée de l’Hudson, État de New York. Ses photographies ont été exposées dans de nombreuses galeries, dont Fotomuseum Den Haag (Pays-Bas), Candace Dwan (États-Unis) et Camera Obscura (France). Son travail figure dans des collections publiques et privées, notamment la Bibliothèque nationale (France), le National Gallery of Art (États-Unis), George Eastman House (États-Unis) et le Museum of Modern Art Library (États-Unis). Il est le cofondateur de Orchard Journal et Dumbsaint et l’auteur de plus de vingt-quatre livres autofinancés et autopubliés. Sa publication collaborative la plus récente, Township (avec Tim Carpenter, Adrianna Ault et Brad Zellar), a été nominée au prix du Livre de Kassel 2018. Meeks est représenté par Wouter van Leeuwen à Amsterdam (Pays-Bas).
Claudine Doury (née en 1959 à Blois) vit et travaille à Paris. Après ses études journalistiques, elle travaille d'abord pour des agences et devient photographe en 1989. À l’intersection du réel et de la fiction, son travail aborde les notions de mémoire et de transition notamment autour de l’adolescence et du voyage, thématiques centrales de son œuvre. Elle est représentée par la Galerie In Camera et l’agence Vu à Paris.
Publié par Concent
244 pages
19 x 27 cm
Japonais
2019
9784909290014
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Valentine Schlegel

Je dors, je travaille

Catalogue « bio-monographique » éclairant la démarche de l’artiste, sculptrice et céramiste Valentine Schlegel, dont la pratique, intimement liée à son quotidien, répond à une logique certaine : celle de créer ses propres conditions de vie. Réalisé par l’artiste Hélène Bertin suite à une recherche sur Valentine Schlegel, édité par Hélène Bertin et Charles Mazé & Coline Sunier.

 

Publié avec le CAC Brétigny
224 pages
18,5 x 27,3 cm
Français/Anglais
2017
9782956007807
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Vasantha Yogananthan

Howling Winds

Édition de 16. Ouvrage de la première édition sous coffret 32 x 26 cm réalisé à la main par La Reliure Contemporaine (Morina Mongin), accompagné d’un tirage jet d’encre couleur 21 x 25 cm de Vasantha Yogananthan, à choisir parmi trois images, signé et numéroté au dos.
Chaque tirage de tête est unique et peint à la main à l’acrylique, aussi sera-t-il légèrement différent de la photographie présentée ici.

Vasantha Yogananthan (né en 1985 à Grenoble) vit et travaille à Marseille.
Photographe autodidacte, il est profondément attaché à la photographie argentique. Le livre est un objet central dans sa pratique, ce qui l’a conduit à cofonder en 2014 la maison d’édition Chose Commune. Il réalise ses projets en immersion et sur le temps long, tout d’abord en France sur la plage de Piémanson (2009-2013), puis en Inde et au Sri-Lanka autour du mythe du Rāmāyana (2013-2021). En 2022, il réalise un nouveau projet aux États-Unis, à La Nouvelle-Orléans, dans le cadre du programme Immersion de la Fondation d’entreprise Hermès duquel il est lauréat. Il est représenté par Jhavery contemporary (Mumbay) et The Photographers' Gallery Print Sales (Londres).
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Vasantha Yogananthan

Dandaka

Édition de 16. Ouvrage de la première édition sous coffret 32 x 26 cm réalisé à la main par La Reliure Contemporaine (Morina Mongin), accompagné d’un tirage jet d’encre couleur 21 x 25 cm de Vasantha Yogananthan, à choisir parmi deux images, signé et numéroté au dos.
Chaque tirage de tête est unique, aussi sera-t-il légèrement différent de la photographie présentée ici.

Vasantha Yogananthan (né en 1985 à Grenoble) vit et travaille à Marseille.
Photographe autodidacte, il est profondément attaché à la photographie argentique. Le livre est un objet central dans sa pratique, ce qui l’a conduit à cofonder en 2014 la maison d’édition Chose Commune. Il réalise ses projets en immersion et sur le temps long, tout d’abord en France sur la plage de Piémanson (2009-2013), puis en Inde et au Sri-Lanka autour du mythe du Rāmāyana (2013-2021). En 2022, il réalise un nouveau projet aux États-Unis, à La Nouvelle-Orléans, dans le cadre du programme Immersion de la Fondation d’entreprise Hermès duquel il est lauréat. Il est représenté par Jhavery contemporary (Mumbay) et The Photographers' Gallery Print Sales (Londres).
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Iris de Moüy

Book Bag

Cabas « book bag » 100% coton biologique en édition limitée de 200 exemplaires, réalisé par Iris de Moüy à l’occasion du 5e anniversaire de Chose Commune.

Iris de Moüy (née en 1975 à Paris) vit et travaille à Paris. Elle dessine, peint et écrit. Travaillant principalement sur papier, le style ouvert et spontané d'Iris de Moüy exprime un éventail d'émotions à l'encre, à la gouache et à la peinture à l'huile. Elle raconte parfois des histoires à l'aide de courts films d'animation, donnant vie à ses dessins fantaisistes. Dans tout son travail, elle crée un univers qui lui est propre, nourri à la fois par le quotidien et la magie. Elle réalise des livres pour enfants et des livres d'artistes et a été en 2015 artiste en résidence à la Villa Kujoyama (Kyoto, Japon).
- Coton biologique épais (310g) fabriqué en Inde dans une démarche de responsabilité sociale et environnementale
- Imprimé en sérigraphie dans un atelier français
- 38 x 34 cm + soufflet de 10 cm
- Lavage à la main conseillé

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Iris de Moüy

Horses Are Blue

Le trait d’Iris de Moüy fabrique des univers où le jeu rencontre la poésie. Les animaux et les hommes cohabitent dans un monde rêvé.

La collection Coup de Crayon propose une carte blanche aux artistes pour qui la peinture, le dessin ou le collage est au coeur de leur pratique – pour penser une série en livre.  “Horses are Blue” de Iris de Moüy est le 1er opus de la collection.

D’un trait libre et spontané, Iris de Moüy dessine des émotions. “Horses are Blue” présente un univers peuplé de créatures mystérieuses et figures humaines extraordinaires qui se rencontrent, se défient et s’enlacent. Un tête-à-tête fantasque qui invite à lâcher prise.

Iris de Moüy (née en 1975 à Paris) vit et travaille à Paris. Elle dessine, peint et écrit. Travaillant principalement sur papier, le style ouvert et spontané d'Iris de Moüy exprime un éventail d'émotions à l'encre, à la gouache et à la peinture à l'huile. Elle raconte parfois des histoires à l'aide de courts films d'animation, donnant vie à ses dessins fantaisistes. Dans tout son travail, elle crée un univers qui lui est propre, nourri à la fois par le quotidien et la magie. Elle réalise des livres pour enfants et des livres d'artistes et a été en 2015 artiste en résidence à la Villa Kujoyama (Kyoto, Japon).
Première édition
Collection de Crayon
Direction éditoriale : Cécile Pimbœuf-Koizumi
68 Pages
33 dessins
17 x 22.5 cm
Couverture rigide avec débossage, dos rond cousu
Date de publication : mars 2019
ISBN 979-10-96383-09-2
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Vasantha Yogananthan

Battlefield

La série A Myth of Two Souls reflète l’imaginaire dégagé par le mythe du Ramayana et sa prégnance dans la vie quotidienne en Inde. Epopée constituée de 7 chapitres et attribuée au poète Valmiki, le Ramayana a été composé il y a plus de deux mille ans. Constamment ré-écrit et ré-interprété, il continue à évoluer aujourd’hui. Retraçant l’itinéraire emprunté par les héros de l’épopée du nord au sud du pays, Vasantha Yogananthan propose une relecture contemporaine du mythe, centrée sur la notion de voyage dans le temps.

Vasantha Yogananthan (né en 1985 à Grenoble) vit et travaille à Marseille.
Photographe autodidacte, il est profondément attaché à la photographie argentique. Le livre est un objet central dans sa pratique, ce qui l’a conduit à cofonder en 2014 la maison d’édition Chose Commune. Il réalise ses projets en immersion et sur le temps long, tout d’abord en France sur la plage de Piémanson (2009-2013), puis en Inde et au Sri-Lanka autour du mythe du Rāmāyana (2013-2021). En 2022, il réalise un nouveau projet aux États-Unis, à La Nouvelle-Orléans, dans le cadre du programme Immersion de la Fondation d’entreprise Hermès duquel il est lauréat. Il est représenté par Jhavery contemporary (Mumbay) et The Photographers' Gallery Print Sales (Londres).
TIRAGE EN ÉDITION LIMITÉE
Ayodhya, Uttar Pradesh, Inde, 2015
Original : négatif moyen format 6×7
Technique : tirage jet d’encre sur Canson Print Making Rag
Tiré par l’artiste
Taille de l’image : 19 x 23,5 cm
Taille du tirage : 21 x 25,5 cm
Édition de 25
Signé et numéroté au verso
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