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Alice and Halsey North

Listening to Clay

Listening to Clay : Conversations avec des céramistes japonais contemporains est le premier ouvrage à présenter des conversations avec certains des plus importants céramistes japonais vivants. Retraçant l’évolution de l’artisanat et de l’art modernes et contemporains au Japon, cet ouvrage novateur met en lumière seize personnes dont les compétences inégalées et l’éclat créatif leur ont conféré une influence qui dépasse largement les frontières nationales.

Publié par Monacelli
Couverture rigide
Anglais
9781580935920
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Artifices Instables

Un parcours d’inventions et d’expérimentations à travers plus de 200 pièces d’artistes internationaux, observant la diversité non seulement des formes et des décors, mais aussi des processus de fabrication de la céramique.
Ce projet évite les narrations traditionnelles qui maintiennent la céramique à la marge des arts, mais rend plutôt hommage au medium en le questionnant comme un matériau hétérogène capable de raconter de nombreuses histoires.

Prenant comme point de départ la création de la première Poterie artistique de Monaco dans la seconde moitié du XIXème siècle, cette publication met en lumière des personnalités majeures de l’histoire de la céramique en Principauté – Charles et Marie Fischer, Eugène Baudin et Albert Diato – et en regard du travail de nombreux artistes parmi lesquels Johan Creten, Simone Fattal, George Ohr, Ron Nagle, Pablo Picasso ou encore Magdalena Suarez Frimkess, dont certains, malgré la distance historique ou géographique, partagent des connexions profondes et des complicités inattendues.
Cette publication rassemble plusieurs des interprétations que ce médium malléable a inspirées sur plus d’un siècle, et reflète l’aspiration des artistes céramistes à provoquer un changement de perspective.

Elle rassemble dans une édition bilingue français-anglais des textes de Cecilia Canziani, Valérie Da Costa, Chus Martínez, Cristiano Raimondi et Agnès Roux.

Florence Cuschieri est une artiste visuelle et auteure franco-maltaise. À travers une pratique pluridisciplinaire mêlant photographie, texte, archives, installation et récits oraux, elle explore les liens profonds entre mémoire et oubli, identité et exil, intime et politique. Inspirée par ses racines maltaises et les fragments d’« histoires oubliées » – souvent personnelles et familiales – elle donne voix aux récits marginalisés et interroge les fractures sociales à travers une approche documentaire et poétique.
Son travail, où se croisent corps et voix, image et mot, est traversé par une volonté d’émancipation et de transmission. Il a été publié dans M Le Monde, Der Greif, Gaze Magazine, et exposé dans de nombreux festivals internationaux, tels qu’Encontros da Imagem (Portugal), Revela’t (Espagne), Athens Photo Festival (Grèce). Elle est lauréate du Prix Jeune Photographie Occitanie – Images Singulières 2021. En 2024, elle est lauréate de la commande Regards du Grand Paris avec le CNAP et les Ateliers Médicis et reçoit le Luma Rencontres Dummy Book Award.
Publié en 2025, La Ronde des hirondelles est son premier livre.
Christine Gössler est née en 1953 en Autriche. Christine étudie l’histoire de l’art avant de travailler comme réalisatrice de programmes documentaires pour la radio. Elle rencontre Seichi Furuya en 1978, et commence à photographier à ce moment-là. Après la naissance de leur fils en 1981, elle s’immerge dans le monde du théâtre. Alors qu’elle se dévoue à ses cours de théâtre, elle commence à montrer des signes de schizophrénie. Christine se suicide à Berlin Est en 1985.
Fusako Kodama (née en 1945 au Japon) a étudié la photographie avec Seiiji Otsuji et Yasuhiro Ishimoto à l'école de design Kuwasawa de Tokyo. Ses œuvres illustrent la quintessence du modernisme de Kusawasa Design, qui intègre l'enseignement du Bauhaus.
Cintia Tortosa Santisteban (née en 1989 en Espagne), habite à Kanagawa au Japon, depuis 2021. Elle a étudié la littérature anglaise, la linguistique et l'enseignement à l'université de Grenade (Espagne) et de Galway (Irlande). Aujourd’hui, elle est professeur d'anglais au Japon. Elle n'a pas reçu de formation en photographie ou en arts, mais a appris à travers les livres, sur Internet et grâce à ses amis. Elle s'intéresse aux arts visuels depuis son enfance, mais ce n'est que fin 2019 qu'elle a commencé à s'y intéresser plus sérieusement.
Vuyo Mabheka (né en 1999 dans la ville rurale de Libode, dans la province du Cap-Oriental, en Afrique du Sud) vit aujourd’hui à Thokoza, proche de Johannesburg. En 2017, il a découvert la photographie à travers le projet Of Soul and Joy - une plateforme créative qui vise à fournir aux jeunes des compétences professionnelles dans le domaine de la photographie. Vuyo Mabheka est lauréat du Prix spécial du Jury du Grand Prix Images Vevey 2023/2024, et sa série Popihuise est exposée à La Biennale Images Vevey 2024. Mabheka est représenté par Afronova Gallery, Johannesburg.
Rebecca Norris Webb (née en 1956 in Rushville, État-Unis), elle vit et travaille entre New York et le Massachusetts. Elle associe souvent ses mots et ses images dans ses livres de photographie — 9 publiés à ce jour —, notamment dans sa monographie « My Dakota », qui est un hommage à son frère décédé brutalement (2012) et qui a fait l’objet d’une exposition personnelle au Cleveland Museum of Art en 2015. Bénéficiaire d’une bourse du NEA, elle travaille actuellement sur « Badlands », un projet photographique en cours dans le Dakota, ainsi que sur son livre à paraître, « Glimmerings », qui rassemble une sélection de photographies sur une période de trente ans. Elle est représentée par la galerie Robert Koch (San Fransisco)
Lia Darjes (née en 1984 à Berlin) vit et travaille entre Hambourg et Berlin. Elle a étudié à la HAW de Hambourg dans la classe d’Ute Mahler et s’est fait connaître avec Tempora Morte, une étude documentaire de nature morte ayant pour sujet principal les étals des marchés informels de Kaliningrad. Aujourd’hui, elle enseigne la photographie à l’Ostkreuzschule für Fotografie, institution qu’elle dirige avec le photographe Jörg Brüggemann depuis 2023. Elle est représentée par la Galerie Robert Morat depuis 2019.
Ciro Battiloro (né en 1984 à Torre del Greco) est un photographe italien basé à Naples. Il a étudié la philosophie à l’université de Naples Federico II et s’est ensuite spécialisé dans la photographie documentaire.
Ciro développe une approche très intime : c’est à travers la vie quotidienne qu’il aborde des thèmes sociaux plus larges.
Son travail a été publié dans des magazines et exposé dans de nombreux musées, galeries et festivals.
Mark Steinmetz (né en 1961 à New-York) vit à Athens, en Géorgie. Il est diplômé en photographie de l’Université de Yale en 1986. Travaillant principalement par séries, ses photographies en noir et blanc évoquent une variété de sujets, depuis l’innocence des enfants et des adolescents des petites villes du sud-est américain, aux rues animées de Paris et aux paysages paisibles des villes italiennes. Il est représenté par Galerie Box (Bruxelles) et la galerie Yancey Richardson (New York).
Irina Rozovsky (née en 1981 à Moscou) a étudié au Massachusetts College of Art and Design de Boston, dans le Massachusetts. Elle photographie des personnes et des lieux, transformant des paysages extérieurs en états intérieurs. Elle vit à Athens, en Géorgie, où elle dirige avec son mari Mark Steinmetz l'atelier de photographie The Humid. Elle est représentée par la galerie CPM (Baltimore) et Galerie Box (Bruxelles).
Orfeo Tagiuri (né en 1991 à Brookline, MA, États-Unis) vit et travaille à Londres. La pratique d'Orfeo s'étend de la peinture et dessin à la performance, au film, à la sculpture sur bois, à l'animation et à la musique. L'artiste a exposé et réalisé des performances à l'international, notamment à la Sapling Gallery, Londres (2021), au MACRO, Rome (2021), au Palais de Tokyo, Paris (2018) et au Volcano Extravaganza de Fiorucci Art Trust (2016). En 2020, Orfeo a été nominé pour le prix Bloomberg New Contemporaries.
Alexandra Duprez (née en 1974 à Quimper) vit et travaille à Douarnenez. À l’âge de 16 ans, Alexandra Duprez entreprend un voyage en Australie. C’est dans ce pays lointain qu’elle rencontre Robin Hundt, une femme passionnée d’art aborigène qui l’héberge dans sa maison aux murs recouverts de toiles. C’est un moment marquant. Dès lors, Alexandra Duprez se consacrera à la peinture. À son retour elle entre aux Beaux-Arts de Quimper. Elle crée des œuvres énigmatiques, oscillant entre un langage abstrait et humain. Elle est représentée (sélection) par la galerie COA au Canada, galerie HAGD au Danemark, galerie DYS en Belgique, Pulp gallery et Tayloe Piggot gallery aux USA , Moving gallery en Hollande. Elle a collaboré de nombreuses années avec la galerie Pierre Hallet à Bruxelles et la galerie Anton Meier à Genève. En 2015, elle participe à la création de la galerie Plein-Jour, qu’elle co-dirige depuis.
Chinoko Sakamoto (née en 1992) est une artiste céramiste japonaise, qui vit et travaille à Nagasaki au Japon.
Mikiko Hara (née en 1967 dans la préfecture de in Toyama, Japon) a suivi une formation au Tokyo College of Photography et a été récompensée du prestigieux Kimura Ihei Award en 2017. Mikiko Hara utilise un appareil Ikonta sans viseur, « L’objectif de l’appareil est plus honnête, plus simple, plus imperturbable et impitoyable que mes propres yeux », explique-t-elle. Elle est représentée par la galerie Miyako Yoshinaga (New York, États-Unis), Osiris (Tokyo, Japon), IBASHO (Anvers, Belgique).
Jared Bark (né en 1944 à Appleton aux États-Unis) partage son temps entre New York et sa ferme de Warwick, dans l'État de New York, où il vit avec sa femme, l'artiste peintre Lois Lane, depuis 1981. Jared Bark est un artiste connu pour la diversité de ses activités et de ses supports. La performance, l'art corporel, les procédures aléatoires et le minimalisme sont autant d'aspects de son travail. Il est représenté par la galerie Yancey Richardson (New-York).
Daniel Gordon (né en 1980 à Boston) vit et travaille à Brooklyn. Il est diplômé d’une licence au Bard College de New York en 2003, puis des Beaux-arts de Yale en 2006. Évoluant entre deux et trois dimensions, la pratique de Daniel Gordon consiste à s'approprier des images de natures mortes qu'il trouve sur Internet. Il imprime les images sur du papier avant de les découper, puis assemble un tableau tridimensionnel dans l'atelier, qui est ensuite photographié, en associant des processus et des matériaux artisanaux et numériques. Il est représenté par la galerie Kasmin (New-York), Shulamit Nazarian (Los Angeles) et Huxley—Parlour (Londres)
Moe Suzuki (née à Tokyo) a étudié la photographie au London College Communications, University of the Arts London.
De retour à Tokyo après le grand tremblement de terre de 2011, Moe Suzuki apprend la reliure en autodidacte. Elle commence alors une carrière d’artiste visuelle, privilégiant la photographie qu’elle mêle à des images d’archives et des illustrations. Son travail porte principalement sur des sujets tels que la vie en communauté, les personnes handicapées ou la spiritualité
Shun Kadohashi (né en 1985) est un artiste céramiste et peintre et vit à Chiba, au Japon. Il a suivi une formation auprès de l'artiste britannique Sandy Brown avant de retourner au Japon et de développer sa propre pratique.
Massao Mascaro (né en 1990 à Lille) vit à Bruxelles. Il est diplômé d’un master en photographie à la BlankPaper Escuela à Madrid. Depuis 2019, Massao enseigne la photographie à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles. Son travail est un équilibre délicat entre autobiographie, topographie et politique. Son point de vue intime, son utilisation d'une mise au point douce, d'un cadrage serré et d'une faible profondeur de champ évoquent le toucher. La portée de son travail est profondément politique, car elle est ancrée dans le besoin d'explorer la manière dont les humains se rapportent aux espaces (à la fois culturels et géographiques) qu'ils habitent. Il est représenté par la galerie C (Neuchâtel).
Constance Guisset (née en 1976 à Neuilly-sur-Seine) est une artiste designeuse, architecte d'intérieur et scénographe, mais aussi illustratrice. Après des études à l’ESSEC et à Sciences Po, puis une année au Parlement de Tokyo, Constance Guisset entre à l’ENSCI – Les Ateliers dont elle sort diplômée en 2007. Son travail est marqué par une recherche d’équilibre entre ergonomie, délicatesse et imaginaire. Ses objets sont autant de tentatives d’explorer l’incarnation du mouvement par la légèreté ou la surprise, tout en défendant une exigence de confort et d’accueil des corps et de leurs gestes.
Toshio Shibata (né en 1949 à Tokyo) est exposé dans le monde entier depuis 1971. Ses photographies atteignent une harmonie unique en se concentrant sur l'imbrication des forces naturelles et des structures créées par l'homme grâce à de longues expositions. Sous l'œil de Shibata, le paysage contemporain devient une mystérieuse composition abstraite, résultat de l'imbrication de la nature et de l'ingénierie.
Deanna Dikeman (née en 1954 à Sioux City, Iowa, États-Unis) réside actuellement à Kansas City. Elle photographie sa famille dans le Midwest depuis 1985, date à laquelle elle a quitté son emploi pour s’essayer à la photographie. En 1996 elle reçoit une bourse de la Fondation Aaron Siskind et en 2018, la bourse United States Artists Booth. Elle obtient la bourse Guggenheim en 2023.
Seiichi Furuya (né en 1950 à Izu, Japon) quitte en 1973 le port de Yokohama pour voyager en Europe à bord du Transsibérien, après avoir obtenu son diplôme de l’Université Polytechnique de Tokyo en 1972. Il s’installe à Graz en 1975, où il rencontre Christine Gössler en février 1978 et le couple se marie en mai de la même année. En 1982, ils déménagent à Vienne pour que Christine puisse étudier le théâtre, puis à Berlin en 1985. Seiichi Furuya est l’un des fondateurs de la revue de photographie Camera Austria et a publié une vingtaine de livres de photographies mettant en scène Christine, lui-même et leur vie ensemble.
Coco Capitán (née en 1992 à Séville) s'installe à Londres à l'âge de 17 ans, où elle étudie la photographie à l'université des arts de Londres et se spécialise dans la photographie d'art au Royal College of Art.
Elle est connue pour son travail artistique et de conception à travers différents chemins, pratiques et médias. Elle aime fabriquer des objets, peindre, penser, écrire, photographier, écouter les autres, trouver des solutions aux problèmes, faire des livres, aménager des espaces, mixer de la musique, concevoir et exposer, entre autres choses.
Rinko Kawauchi (née en 1972 à Shiga) vit à Chiba au Japon. Elle s'est intéressée à la photographie tout en étudiant à Seian College of Art and Design. Le travail de Rinko Kawauchi est caractérisé par une sérénité, un style poétique, illustrant les moments ordinaires dans la vie. Elle photographie principalement en utilisant un format 6×6. Elle est représentée par la Galerie Priska Pasquer (Allemagne), Meessen De Clercq (Belgique), Rose Gallery (États-Unis) et la galerie Christophe Guye (Suisse).
Vasantha Yogananthan (né en 1985 à Grenoble) vit et travaille à Marseille.
Photographe autodidacte, il est profondément attaché à la photographie argentique. Le livre est un objet central dans sa pratique, ce qui l’a conduit à cofonder en 2014 la maison d’édition Chose Commune. Il réalise ses projets en immersion et sur le temps long, tout d’abord en France sur la plage de Piémanson (2009-2013), puis en Inde et au Sri-Lanka autour du mythe du Rāmāyana (2013-2021). En 2022, il réalise un nouveau projet aux États-Unis, à La Nouvelle-Orléans, dans le cadre du programme Immersion de la Fondation d’entreprise Hermès duquel il est lauréat. Il est représenté par Jhavery contemporary (Mumbay) et The Photographers' Gallery Print Sales (Londres).
Shoji Ueda (né en 1913 à Sakaiminato au Japon et décédé en 2000) est une des grandes figures de l’histoire de la photographie japonaise. À 15 ans, son père lui achète son premier appareil photographique et il obtient en 1932 le diplôme de la Tokyo Oriental Photography School. Jusqu’à sa disparition en 2000, il dédie sa vie à la photographie dans sa région natale, loin de la profusion tokyoïte, revendiquant son amateurisme. Connu pour son style particulier appelé « Ueda cho », il se démarque par de célèbres séries de photos réalisées dans le décor surréaliste des dunes de sable de la préfecture de Tottori, sa région natale.
Issei Suda (né en 1940 à Tokyo et décédé en 2019) est diplômé du Tokyo College of Photography. Il travaille au départ comme photographe pour la troupe de théâtre Tenjo Sajiki puis devient photographe indépendant. Photographe du quotidien, de l'instantané, du furtif et du déclenchement à la volée, il enseigne au Tokyo College of Photography et à l'Université Zokei de Tokyo, ainsi qu’au Département de photographie de l'Université des Arts d'Osaka. Il a réalisé plus de 190 expositions personnelles au cours de sa vie.
Masako Tomiya (née en 1981 au Japon) débute la photographie pendant ses années de lycée, et étudie ensuite à Osaka et Tokyo dans les années 2000. A partir de cette époque, elle commence à prendre des photos de la région de Tsugaru où elle est née.
Nathalie Du Pasquier (née en 1957 à Bordeaux) est une designer et artiste connue pour son travail en tant que membre fondatrice du groupe Memphis dans les années 1980. D'abord spécialisée dans le textile, le mobilier et les motifs, elle s'est ensuite tournée vers la peinture. Son œuvre se distingue par des couleurs vives, des formes géométriques et une approche ludique de la composition. Elle continue d’explorer la relation entre les objets, l’espace et la forme dans son art.
Alexandra Catière (née en à Minsk, Biélorussie) vit et travaille à Paris. Elle est diplômée de l’International Center of Photography (New York, USA) et a été l’assistante d`Irving Penn. Lauréate du Festival de la Photographie d’Hyères en 2007, puis de la première édition de la Résidence BMW au musée Nicéphore Niépce avec l’exposition aux Rencontres d’Arles en 2012, elle collabore régulièrement avec la presse. Alexandra Catiere est l’auteur de quatre livres photographiques. Son parcours sans frontières témoigne de son envie de tendre vers l’universel. De l’ancienne Union soviétique à la France en passant par les Etats-Unis, elle fait de l’intemporalité l’un des aspects majeurs de sa création. Elle est représentée par la galerie In Camera (Paris).
Iris de Moüy (née en 1975 à Paris) vit et travaille à Paris. Elle dessine, peint et écrit. Travaillant principalement sur papier, le style ouvert et spontané d'Iris de Moüy exprime un éventail d'émotions à l'encre, à la gouache et à la peinture à l'huile. Elle raconte parfois des histoires à l'aide de courts films d'animation, donnant vie à ses dessins fantaisistes. Dans tout son travail, elle crée un univers qui lui est propre, nourri à la fois par le quotidien et la magie. Elle réalise des livres pour enfants et des livres d'artistes et a été en 2015 artiste en résidence à la Villa Kujoyama (Kyoto, Japon).
Clémentine Schneidermann (née en 1991) vit et travaille entre Cardiff (Pays de Galles) et Paris (France). Elle a étudié au Centre d'Enseignement Professionnel de Vevey en Suisse puis à l’université de South Wale à Newport (Pays de Galle). Elle s’intéresse à la représentation des milieux populaires du Royaume-Uni. Jouant avec une esthétique entre photographie de mode et documentaire, elle donne à voir avec poésie et humour des communautés à la marge. À travers la photographie de portrait, elle confronte les codes des deux disciplines (mode et documentaire) pour détourner le quotidien et magnifier l’ordinaire.
Sarker Protick (né en 1986 à Dhaka, au Bangladesh) a étudié à l'Institut des médias d'Asie du Sud - Pathshala à Dhaka, où il enseigne depuis dix ans.
Le travail de Sarker Protick s'articule souvent autour du thème du changement, de l'immobilité momentanée, de la lumière fugace et des origines élémentaires d'un lieu.
Katrin Koenning (née en 1978 à Dortmund en Allemagne) vit et travaille à Naarm, en Australie.
Elle a étudié la photographie documentaire au Queensland College of Art, à l'université Griffith (Brisbane, Australie). En quête d'intimité et d'interconnexion, le travail de Katrin Koenning est centré sur la pratique en tant que rencontre relationnelle. Dans ses images-dialogues, Katrin utilise des fragments et des glissements pour suggérer des espaces narratifs et des communautés fluides et multiples.
Johanna Tagada Hoffbeck (née en 1990 à Strasbourg, France) est une peintre et artiste interdisciplinaire. Elle vit et travaille principalement dans les régions rurales d’Oxfordshire (Royaume-Uni) et de l’Alsace (France).
Sa pratique, qui est composée de peinture, dessin, installation, sculpture, film, photographie et écrits dissimule souvent des messages écologiques, transmis par des techniques douces et délicates L’interaction entre l’environnement et autrui joue un rôle central dans plusieurs des oeuvres de l’artiste. En 2014, Johanna a fondé le projet culturel positif et collaboratif Poetic Pastel. En 2018, l'artiste a cofondé la série de publications Journal du Thé - Contemporary Tea Culture.
Julie Cockburn (née en 1966 à Londres) vit et travaille à Suffolk (Royaume-Uni). Elle a étudié à la Central St Martins School of Art and Design et à la Chelsea School of Art, à Londres. Le travail de Julie Cockburn se définit par son artisanat délicat et par la transformation d'objets quotidiens et trouvés en œuvres d'art. En manipulant des objets et des images trouvés, tels que des sculptures en céramique, des peintures, des photographies, du papier imprimé et des livres, elle évoque un sentiment de nouveauté et de spontanéité. Elle est représentée par The Photographers’ Gallery (Londres), Flowers gallery (Londres) et la galerie Hopstreet (Bruxelles).
Raymond Meeks (né en 1963 dans l'Ohio, États-Unis), vit et travaille dans la vallée de l’Hudson, État de New York. Ses photographies ont été exposées dans de nombreuses galeries, dont Fotomuseum Den Haag (Pays-Bas), Candace Dwan (États-Unis) et Camera Obscura (France). Son travail figure dans des collections publiques et privées, notamment la Bibliothèque nationale (France), le National Gallery of Art (États-Unis), George Eastman House (États-Unis) et le Museum of Modern Art Library (États-Unis). Il est le cofondateur de Orchard Journal et Dumbsaint et l’auteur de plus de vingt-quatre livres autofinancés et autopubliés. Sa publication collaborative la plus récente, Township (avec Tim Carpenter, Adrianna Ault et Brad Zellar), a été nominée au prix du Livre de Kassel 2018. Meeks est représenté par Wouter van Leeuwen à Amsterdam (Pays-Bas).
Claudine Doury (née en 1959 à Blois) vit et travaille à Paris. Après ses études journalistiques, elle travaille d'abord pour des agences et devient photographe en 1989. À l’intersection du réel et de la fiction, son travail aborde les notions de mémoire et de transition notamment autour de l’adolescence et du voyage, thématiques centrales de son œuvre. Elle est représentée par la Galerie In Camera et l’agence Vu à Paris.
Publié par Mousse Publishing
408 pages
24 × 16 cm
Couverture souple
Français / anglais
2020
ISBN 9788867494491
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Betty Woodman

Theatre of the Domestic

Cette publication présente dix ans de travaux en céramique réalisés par une figure importante de l’art d’après-guerre. Publié suite aux expositions au musée Marino Marini à Florence du 20 septembre au 28 novembre 2015 et à l’Institute of Contemporary Arts, Londres, du 3 février au 10 avril 2016.
Betty Woodman (1930-2018) est une artiste et une universitaire, mariée au peintre et photographe George Woodman. Woodman est principalement reconnue pour ses œuvres en céramique, notamment visibles au Musée des Beaux-Arts de Boston, Massachusetts, au Musée international de la céramique à Faenza, au Metropolitan Museum of Art à New York, au Musée des Arts Decoratifs à Paris, au Museu Nacional do Azulejo à Lisbonne, au Museum of Modern Art à New York, à la National Gallery of Art de Washington, DC, au Victoria and Albert Museum à Londres et au Centre international de la céramique à Ichon en Corée.

Publié par Mousse Publishing
180 pages
22 x 28,5 cm (broché)
Anglais
2016
9788867492183
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Edith Heath

Philosophies

Edith Heath : Philosophies est la ressource la plus complète à ce jour sur Edith Kiertzner Heath (1911-2005) et l’histoire de Heath Ceramics, mettant l’accent sur les fondements philosophiques et les influences de l’une des forces créatives les plus importantes de l’Amérique d’après-guerre. Fortement illustré, il comprend un avant-propos, une préface, une chronologie visuelle, un historique des produits et des glaçures de la vaisselle, ainsi que treize chapitres rédigés par des artistes et des universitaires qui ont mené des recherches à partir de la collection Brian et Edith Heath/Heath Ceramics des Environmental Design Archives ( (EDA), UC Berkeley. Cette publication servira de complément à l’exposition de 2021 au Oakland Museum of California, offrant des commentaires substantiels et approfondis sur les thèmes présentés – environnement, féminisme, expérimentation, architecture, politique, collaborations – tout en renforçant la pertinence de l’histoire d’Edith Heath dans la vie et la société contemporaines.

Organisé par thèmes, Edith Heath : Philosophies met l’accent sur des récits moins connus et utilise des images rarement vues. Edith Heath considérait que sa vaisselle était plus qu’une collection d’objets ; c’était une déclaration de bon design reflétant le style de vie de la côte ouest américaine d’après-guerre. Le livre s’écarte du récit linéaire traditionnel de l’entreprise et situe Edith Heath comme une figure influente et méconnue de l’histoire du design céramique. Le texte et les riches illustrations plairont à un public diversifié intéressé par le design d’après-guerre, la culture matérielle et l’histoire de la Californie.

Publié par Information Office / Vancouver
320
17.8 x 24.8 cm
Hardcover
English
2021
978198886012
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Faye Toogood

Assemblage 6, Unlearning

Ce livre capture l’instant brut de création de FAYE TOOGOOD. ASSEMBLAGE 6: UNLEARNING a commencé avec une sélection de près de 300 maquettes : chaises, lampes, tabourets ou méridiennes en fil de fer, carton, ruban adhésif et toile, ou les matériaux de tous les jours que l’on trouve dans l’atelier de FAYE TOOGOOD. Mais après avoir aligné ces maquettes assez grossières, presque enfantines, la collection s’est réduite à dix-sept qui ont été choisies pour être agrandies. C’est un véritable voyage immersif à travers toutes les maquettes originales et leur passage occasionnel dans le monde réel du meuble/sculpture, un livre qui joue avec le sens de la dissimulation évident dans les objets finis ou le fait que certains objets ne sont pas toujours ce qu’ils paraissent être à première vue.

L’auteur Sophie Mackintosh, nominée pour le Man Booker, prend cette idée comme point de départ pour sa nouvelle présentée au début du livre. Le livre se clôt sur un essai de l’écrivain et commissaire indépendant Glenn Adamson, qui contextualise la collection et le processus dans son ensemble.

Publié par Apartamento Publishing
448 pages
22 x 14.5 cm
Couverture rigide
2021
978-84-09-25627-3
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Guido De Zan

An idea of lightness

Guido De Zan est né à Milan en 1947, et c’est en 1975 qu’il a commencé ses recherches dans le domaine de la céramique. Il utilise le grès et la porcelaine pour créer des sculptures et des objets fonctionnels. Cette monographie est consacrée à ses 40 ans de carrière de céramiste, au cours desquels il a cherché à “alléger” la matière et à rechercher l’équilibre, aussi instable soit-il. Composée d’un riche catalogue d’œuvres réparties en catégories, elle présente de nouveaux textes de plusieurs auteurs, dont De Zan lui-même. Elle présente également une anthologie critique d’écrits qui soulignent les thèmes fondamentaux de la recherche de De Zan, de la relation entre l’art et le travail manuel, à son lien avec Milan.

Publié par Corraini Edizioni
192 pages
20 x 26 cm
Italien/Anglais
2018
9788875707408
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Izumi Shimura

Manuel N°01 Kintsugi

L’art de la restauration de la céramique à la laque et à la poudre d’or.

Le kintsugi est un art ancestral japonais qui consiste en la restauration d’un objet en céramique, en collant les bouts cassés avec de la laque puis en maquillant les cicatrices avec de la poudre d’or. Izumi Shimura, l’autrice, exerce et enseigne l’art du kintsugi.

Photographies © Studio Haberfeld

Publié par les Éditions L’Univers dans un vase
44 pages
18 x 12,5 cm
Couverture Souple
18 x 12,5 cm
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JB Blunk

JB Blunk - Edition 3

Cette monographie tant attendue présente l’étendue de la pratique de JB Blunk et comprend des photographies d’archives inédites et récemment commandées de bijoux, de céramiques, de peintures, de meubles, de sculptures et de sa maison construite à la main. Edité par Mariah Nielson et Åbäke, le livre présente des essais de Lucy Lippard, Glenn Adamson, Fariba Bogzaran et Louise Allison Cort.

Publié par Blunk Books et Dent-de-Leon
224 pages
21 x 26 cm
Anglais
2021
9781907908682
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Nathalie Lautenbacher

Kantava Maa

“Solid Ground” de Nathalie Lautenbacher, de l’université d’Aalto, comprend une sélection de photographies et d’essais réfléchis dans le cadre d’un examen approfondi de la céramique et de son attrait. Alors que le domaine du design couvre aujourd’hui une variété de matériaux et de technologies différents, et opère même dans des domaines immatériels, l’art ancien de la céramique reste très pertinent. Les sept chapitres du livre reflètent non seulement les tendances actuelles, mais aussi des phénomènes durables dans le domaine de la céramique. Nombre de ces thèmes sont archaïques, ayant évolué naturellement au fil du temps. Les auteurs, issus de domaines variés, cherchent des passerelles entre la culture, l’art et le monde universitaire, pour découvrir les racines de ce matériau polyvalent.

ublié par Aalto University
Edité par Nathalie Lautenbacher
186 pages
17 x 22 cm
Anglais/Finnois
2020
9789526038827
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Kenya Hara

White

« White » n’est pas un livre sur les couleurs. C’est plutôt la tentative de Kenya Haras d’explorer l’essence du «blanc», qu’il considère comme étant étroitement liée à l’origine de l’esthétique japonaise – symbolisant la simplicité et la subtilité. Les concepts centraux discutés par Kenya Hara dans cette publication sont la vacuité et le vide absolu. Kenya Hara considère également son travail de designer comme une forme de communication. Une bonne communication a la particularité de pouvoir s’écouter plutôt que d’imposer son opinion à l’adversaire. Kenya Hara compare cette forme de communication à un « conteneur vide ». Dans la communication visuelle, il y a également des signaux dont la signification est limitée, ainsi que des signaux ou des symboles comme la croix ou le cercle rouge sur le drapeau japonais, qui – comme un « contenant vide » – permettent toutes les significations et ne limitent pas l’imagination. Non seulement le fait que le caractère japonais pour le blanc forme un radical du caractère pour le vide l’a incité à associer étroitement la couleur blanche au vide.

Publié par Lars Müller Publishers
80 pages
13,5 x 19,5 cm (couverture rigide)
Anglais
2021
9783037781838
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Matthew Lutz-Kinoy & Natsuko Uchino

Keramikos

Le livre Keramikos présente des enregistrements photographiques recto-verso de 300 pièces peintes que les artistes Matthew Lutz-Kinoy et Natsuko Uchino ont produites depuis 2010 – notamment des assiettes, des bols, des pichets et des pots à huile. Certains objets sont accompagnés de descriptions narratives qui présentent des aspects de la recherche vaste et complexe du duo, qui explore les notions de société, de religion, de politique, de style et de technique à travers la longue histoire des motifs de production de céramique hispano-mauresque, byzantine, islamique et coréenne. Chaque plaque est imprimée au recto et son verso est présenté dans la même position au verso de la même page. Un vaste index complète l’ouvrage, ainsi qu’un entretien avec l’artiste et le commissaire d’exposition Nicolas Trembley.

 

Publié par Verlag der Buchhandlung Walther König
192 pages
20.7 x 30.7 cm
Couverture rigide
Anglais
2021
ISBN 9783960989103
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Laura Aldridge

Things that soak you

Une sélection d’œuvres récentes et plus anciennes de Laura Aldridge, accompagnée d’un entretien et de trois essais inédits sur sa pratique.

Développant une pratique profondément engagée dans un débat sur l’artisanat et l’art contemporain, les processus de création, l’expérimentation et la collaboration, Laura Aldridge (née en 1978 à Frimley) crée des environnements performatifs ou, dans ses propres termes, des « collages élargis » (expanded collages) dans lesquels elle joue de la réunion ludique de matériaux, de procédés et de textures pour provoquer des associations sensibles. Son œuvre questionne et met l’accent sur les différentes stratégies de création et de réception. En jouant avec différents matériaux (photographie, sérigraphie, céramique, tissu, objets trouvés, ciment) et en convoquant à la fois savoir-faire artisanaux, fait-main et pratiques sculpturales, ses pièces interrogent la place du spectateur dans l’installation, entre interactions physiques avec l’environnement et engagement tactile.

Publié par Mousse Publishing
176 pages
17 x 24 cm
2021
Anglais
9788867495009
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Magdalene Odundo

The Journey of Things

The Journey of Things de Magdalene Odundo a été publié parallèlement à l’exposition du même nom présentée à The Hepworth Wakefield au printemps 2019. Le livre présente 44 des navires d’Odundo aux côtés d’une large sélection d’objets muséologiques et contemporains qui révèlent le large éventail de références mondiales. qui ont guidé sa pratique. L’objet livre comprend une série de sections entrelacées présentant un flux organique de contenu qui associe et juxtapose l’historique et le contemporain, avec des œuvres de Barbara Hepworth, Henry Moore, Henri Gaudier-Brzeska, Lucie Rie, Jean Arp, ainsi que des vaisseaux anciens. de Grèce et d’Égypte, des céramiques historiques d’Afrique, d’Asie et d’Amérique centrale, et des objets rituels de tout le continent africain.

Publié par InOtherWords
184 pages
14 x 28 cm
Couverture souple
Anglais
9781916002418
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Makoto Kagoshima

Ceramics

Makoto Kagoshima, basé sur l’île méridionale du Japon, illustre des motifs fantaisistes et réconfortants sur de l’argile, faisant de chaque céramique une œuvre d’art unique en son genre. En tant que jardinier passionné, des motifs tels que des pensées et des roses apparaissent dans ses créations, avec parfois des papillons et d’autres créatures fantastiques.

Publié par Chariots on Fire Press
21 x 29,7 cm
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Robert Auguste et Gyn Gausserand

POTS

Gyn Gausserand et Robert Auguste se rencontrent en 1948 à l’école de poterie de Fontcarrade à Montpellier. Ils partagent le même atelier toute leur vie durant, d’abord à Vallauris, avec toute la bande (Capron, Derval, Kostanda, Picasso bien sûr, Picault, Ramié, etc. ), puis à Millau, et enfin à Pouzilhac où ils s’établissent dans une maison atelier pour travailler plus et mieux, pour créer leur monde.

Cet ouvrage est l’occasion de mettre en lumière un atelier de poterie actif pendant près de soixante-dix ans depuis le début des années 50 jusqu’en 2017, en mettant en évidence les aspects techniques, idéologiques et culturels de celui-ci. À Vallauris, leur production est déjà polymorphe : l’approche résolument moderne et libre du duo formé par Gyn et Robert est remarquable et chacun travaille aussi dans d’autres ateliers. Gyn réalise des décors chez leur voisin Jacques Lignier, tandis que Robert travaille comme tourneur auprès d’Odette Gourju Naumowitch et de son mari Ljuba (parents de Jacques Innocenti), à l’atelier du Grand Chêne. Leurs créations, signées RGA Vallauris, RGA, R et G Auguste, RA, GG, Gyn, révèlent des pièces culinaires mais aussi des pots aux allures sculpturales et des panneaux aux décors peints qui prennent une dimension bel et bien artistique, au-delà du seul sens de l’usage. Ils ont par ailleurs réussi à penser leur autonomie en quittant Vallauris. Le plus important était de faire et de se rendre disponibles à la rencontre dans leur atelier, lieu du travail et de la vente. Le talent de ces deux potiers, alliés de toujours, est d’avoir su développer tout au long de leur vie un vocabulaire de formes très identifiable présent dès les débuts de leur activité. Cette fidélité à leur style est vérifiée par les nombreuses images d’archives et par des signatures de toutes époques présentant d’infimes variations de décors.

Les charismatiques Robert et Gyn avaient des personnalités très différentes, conscients de leur complémentarité, choisissant un mode de vie alternatif qui fait aujourd’hui écho au regain que nous connaissons autour des métiers de la terre.

Cette publication inclue des extraits d’entretiens, des morceaux choisis, des archives photographiques, écrites (lettres, dessins, poèmes, formules chimiques, registres comptables) mais aussi des photographies contemporaines in situ des pièces restées dans ce qui fut leur dernier atelier.

Publié par Iris éditions
192 pages
24 x 32 cm
2023
Français
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Jiro Kimura

ReConstruction

Après avoir déménagé à Yatsugatake, Kimura a passé près de 11 ans à créer des meubles à partir de bois de construction usagé. Depuis la création de Trax jusqu’à son décès, il a produit une multitude de meubles et d’objets.
Cette publication est un résumé de l’immense quantité de photographies et de documentation sur ses meubles, ses objets et sa création d’espace autour de Trax que Kimura a laissée derrière lui. La plupart des photos incluses ont été prises à Trax, en tant qu’espace en soi. Outre des textes écrits par Kyohei Sakaguchi, Elein Fleiss et Tohru Matsushita (SIDE CORE), tous associés à Trax, le livre comprend également des croquis et des dessins de Kimura, ainsi que des photographies du jardin et de la culture Jomon qui lui ont servi d’inspiration. Même vingt ans après sa mort, de nombreuses œuvres de Kimura restent intemporelles, conservées principalement à Trax. Ce livre est une étude du parcours créatif de Jiro Kimura avec Trax, en tant que galerie et œuvre d’art.

La Gallery Trax a vu le jour en 1993, au pied de Yatsugatake, dans la ville de Hokuto, à Yamanashi. Fondée par l’architecte d’intérieur Jiro Kimura et la designer Etsuko Miyoshi, ce bâtiment était la crèche d’une école municipale fermée située sur le terrain du temple Shounji. Il a été rénové par Kimura lui-même, et le mobilier et les objets qu’il a créés composent l’espace. Trax se distingue non seulement par son emplacement ou son atmosphère, mais aussi par le fait qu’il a été un lieu d’exposition pour des artistes tels que Jun Tsunoda, Tomoo Gokita, Katsumi Omori, Rinko Kawauchi, Yayoi Deki et d’autres depuis le début de leur carrière. Avec le vent qui souffle et la lumière qui pénètre, la galerie n’est pas ce que l’on appelle un White Cube. L’espace et les œuvres semblent respirer ici ; l’espace lui-même est une œuvre d’art qui a accueilli de nombreuses œuvres d’art au fil des ans. Depuis le décès de Kimura en 2004, Miyoshi a maintenu l’endroit en tant que galerie, et le nombre de visiteurs de Trax, un lieu où l’esprit de Kimura réside toujours, ne cesse de croître.

Éditeur: torch press
30 x 23 cm
144 pages
Japonais / Anglais
ISBN: 978-4-907562-45-8 C0052
Décembre 2023
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