Catégorie: collages













Daniel Gordon
New Canvas
Les objets de Daniel Gordon sont d’abord imprimés, découpés, collés et assemblés afin d’être photographiés. New Canvas retrace le processus de l’artiste dans la création de ses ensembles visuels multicouches.
Daniel Gordon découpe, construit, expérimente et photographie. La relation qu’entretient Gordon à la photographie est intrinsèquement liée à son processus de travail. Tout comme un peintre ou un sculpteur, il a une intense pratique d’atelier. C’est en huis clos qu’il imagine et crée ses images de toutes pièces, au sens littéral et figuré.
New Canvas, qui peut être considéré comme la monographie la plus complète de l’artiste à ce jour, s’attache aussi bien à montrer l’œuvre de Gordon que le processus qui le mène à ses tableaux, en mettant l’accent sur les différentes strates qui les composent.
Biographie
Daniel Gordon (né en 1980 à Boston) vit et travaille à Brooklyn, NY. Il est diplômé d’une licence au Bard College de New York en 2003, puis des Beaux-arts de Yale en 2006.
Évoluant entre deux et trois dimensions, la pratique de Daniel Gordon consiste à s’approprier des images de natures mortes qu’il trouve sur Internet. Il imprime les images sur du papier avant de les découper, puis assemble un tableau tridimensionnel dans l’atelier, qui est ensuite photographié, en associant des processus et des matériaux artisanaux et numériques.
Texte: Susan Thompson
Direction Éditoriale: Cécile Poimboeuf-Koizumi
Graphisme: Akiko Wakabayashi
Français / Anglais
Relié
21 x 29 cm
160 pages
Date de publication: 27 octobre 2022
ISBN: 979-10-96383-27-6
Vous aimerez aussi













Johanna Tagada Hoffbeck
Do Insects Play?
Entre collages et créations en papier, fruits de résidence et d’expérimentations, Do Insects Play? est une exploration poétique des matières qui mêle le visuel et l’écriture.
La collection Coup de Crayon propose une carte blanche aux artistes pour qui la peinture, le dessin ou le collage est au coeur de leur pratique – afin de penser une série en livre. “Do Insects Play” de Johanna Tagada Hoffbeck est le 3e opus de la collection.
“Do Insects Play?” nous plonge dans l’univers espiègle et sensible de l’artiste française Johanna Tagada Hoffbeck, dont la pratique se nourrit de l’environnement dans lequel elle se trouve. Ce livre présente une sélection de collages aux teintes douces et vives, issus de la série en cours Cocooning – composée de papiers trouvés, peintures et textiles, avec d’autres pièces de To End is to Start, un nouveau corpus créé à partir de fibres de coton recyclés et de l’eau. Ces nouvelles pièces ont été réalisées lors d’une résidence en Inde en 2018-19, pendant laquelle Johanna Tagada Hoffbeck a approfondi sa connaissance et sa pratique de la fabrication artisanale du papier. Une nouvelle de l’artiste accompagne les œuvres, faisant leur apparition comme une douce mélodie dansant à travers les pages.
Johanna Tagada Hoffbeck (née en 1990 à Strasbourg, France) est une peintre et artiste interdisciplinaire. Elle vit et travaille principalement à Londres (Royaume-Uni) ainsi que dans les régions rurales de l’Alsace (France). Sa pratique, qui est composée de peinture, dessin, installation, sculpture, film, photographie et écrits dissimule souvent des messages écologiques, transmis par des techniques douces et délicates L’interaction entre l’environnement et autrui joue un rôle central dans plusieurs des oeuvres de l’artiste. Épistolaire Imaginaire – Merci à la galerie Jean-François Kaiser et Take Care – きをつけてà Nidi Gallery font partie de ces récentes expositions personnelles. En 2014, Johanna a fondé le projet culturel positif et collaboratif Poetic Pastel. En 2018, l’artiste a cofondé la série de publications Journal du Thé – Contemporary Tea Culture.
64 Pages
17 x 22.5 cm
43 pièces
Première édition septembre 2019
ISBN: 979-10-96383-13-9
Vous aimerez aussi














Julie Cockburn
Stickybeak
Avec des techniques traditionnelles comme la broderie, le découpage ou le collage, Julie Cockburn magnifie les photos abandonnées qu’elle chine, pour leur donner une seconde vie, ajoutant une couche de mystère à leur passé oublié.
“Stickybeak” est la première monographie approfondie de Julie Cockburn.
La publication coïncide avec l’exposition personnelle “Telling it slant” à la galerie Flowers Gallery à Londres, Royaume-Uni (12 septembre-2 novembre 2019)
Nous sommes tous curieux jusqu’à un certain degré. La plupart de mes héros et héroïnes de fiction passent leur temps à investiguer, ou du moins à se mêler des affaires des autres ; Miss Marple, le lieutenant Columbo, Margo Leadbetter. Il y a même des histoires d’espionnage dans mon passé familial récent. Une personne inscrite sur les réseaux sociaux fait toujours quelques recherches – l’indiscrétion est dans la nature humaine.
Les œuvres de ce livre ont été réalisées sur une période de douze ans, certaines sont des expérimentations uniques, d’autres font partie de séries en cours que je complète au fil du temps. Chaque réalisation a commencé avec la quête de l’image parfaite, pour laquelle je m’imposais des paramètres vaguement exigeants. J’ai sélectionné des cartes postales écrites, des photographies anciennes, des ex-libris abîmés et certains de mes propres dessins d’enfant. Chacune de ces trouvailles a une histoire différente à raconter, inconnue ou oubliée. Par mon action, ces objets jadis silencieux, superflus et orphelins retrouvent un cœur vivant.
Je considère ce livre comme une continuité de cette démarche. Les éditeurs ont puisé dans les centaines d’images de mes archives de la même façon que j’ai épluché les pages des sites de vente en ligne ou couru les stands désordonnés des brocantes. Ici, il s’agit d’un éclairage sur mon travail assidu de broderie à la main et de collages complexes, la succession des images évoquant une histoire d’humour et de tendresse. Nous la lirons tous différemment, nous arrêtant sur les éléments qui nous parlent le plus, dans la langue qui nous va le mieux. Mais dans l’ensemble, cette sélection réduite, sorte de cadavre exquis choisi, explore comment nous nous percevons nous-mêmes, comment nous percevons les autres, et l’ambiguïté à plusieurs niveaux qui est celle de la vie.
Julie Cockburn
Design: Bureau Kayser
Couverture rigide
21 x 30 cm
70 pièces
88 pages
Francais / Anglais
Date de publication : 11 septembre 2019
ISBN: 979-10-96383-14-6
Vous aimerez aussi













Geraldo de Barros
Sobras
Sobras est la série la plus intime de Geraldo de Barros : il travaille à partir de ses archives familiales, qu’il découpe et colle dans un univers en noir et blanc
Geraldo de Barros (1923-1998) est reconnu aujourd’hui comme l’une des figures incontournables de la scène artistique brésilienne de la seconde moitié du XXe siècle. Artiste curieux et avide d’expérimentations, sa pratique est extrêmement diverse. A la fois peintre, photographe et designer, il est aussi l’un des membres fondateurs de l’art concret à São Paulo.
A la suite de plusieurs attaques cérébrales, Geraldo de Barros retourne à la photographie à la fin des années 90. Il se replonge dans ses archives et, avec l’aide d’une assistante, réalise des découpages et collages à partir de photographies de famille. C’est ainsi que sa dernière série, qui est aussi la plus personnelle, voit le jour : « Sobras » (Restes).
L’ouvrage « Sobras », entre livre historique et livre d’artiste, est la première parution internationale consacrée à ce travail. La plume décalée de Vanessa Barbara, jeune écrivain brésilienne, complète l’ouvrage avec une nouvelle inspirée de l’univers étonnant de l’artiste, où les noirs absolus contrastent avec la neige éclatante de ses souvenirs d’hiver.
Photographies : Geraldo de Barros
Concept et editing : Cécile Poimboeuf-Koizumi & Vasantha Yogananthan
Design : Atelier Pentagon (Vanessa Goetz & Guillaume Allard)
124 pages
65 photographies
23 cm x 33 cm
Couverture rigide
français, anglais, portugais
1500 exemplaires
Date de publication : 18 avril 2017
ISBN : 979-10-96383-00-9
Lauréat Prix Nadar 2017
Nominé pour le Prix du Livre Historique Arles 2017
Vous aimerez aussi



Geraldo de Barros
Sobras
Geraldo de Barros (1923-1998) est reconnu aujourd’hui comme l’une des figures incontournables de la scène artistique brésilienne de la seconde moitié du XXe siècle. Artiste curieux et avide d’expérimentations, sa pratique est extrêmement diverse. A la fois peintre, photographe et designer, il est aussi l’un des membres fondateurs de l’art concret à São Paulo.
A la suite de plusieurs attaques cérébrales, Geraldo de Barros retourne à la photographie à la fin des années 90. Il se replonge dans ses archives et, avec l’aide d’une assistante, réalise des découpages et collages à partir de photographies de famille. C’est ainsi que sa dernière série, qui est aussi la plus personnelle, voit le jour : « Sobras » (Restes).
L’ouvrage « Sobras », entre livre historique et livre d’artiste, est la première parution internationale consacrée à ce travail. La plume décalée de Vanessa Barbara, jeune écrivain brésilienne, complète l’ouvrage avec une nouvelle inspirée de l’univers étonnant de l’artiste, où les noirs absolus contrastent avec la neige éclatante de ses souvenirs d’hiver.